$startRow_categb = $pageNum_categb * $maxRows_categb; ?> Pedôlatrie, science et sexualité (1): DE L'ENFANT A l'ENFANCE
Pedôlatrie, science et sexualité (1): DE L'ENFANT A l'ENFANCE

Banc Public n° 86 , Janvier 2000 , Serge KATZ



"Pour les enfants". "Nos enfants". "Protégez nos enfants". Issus de la Marche blanche, d'organisations à prétentions éducatives ou du «cri du coeur des lecteurs de la DH», voilà autant de slogans qui semblent désigner les plus jeunes comme victimes spéciales et patrimoine collectif. Il ne s'agit pas ici de réexaminer les effets malheureux d'une demande populaire pourtant légitime. Les appels à la délation, le développement des milices morales et les déclarations des pourfendeurs du «sexe sale» ont effectivement été encouragés par un appareil politico-administratif prompt à exploiter sous le couvert de la notion de «danger» une névrose sociale investissant la complicité fantasmatique de la victime innocente et du monstre criminel, de la mort et de la sexualité(1). Il convient en revanche de constater que les récents efforts visant à pourvoir l'enfant d'un statut juridico-anthropologique se fondent sur cette même névrose.


Comme l'écrit Jean Baudrillard (2) critiquant la Déclaration universelle des droits de l'enfant adoptée par l'ONU : «De l'enfant, il y en aura toujours, mais comme objet de curiosité ou de perversion sexuelle, ou de compassion, ou de manipulation et d'expérimentation pédagogique».

De même, les droits de l'enfant mis au frontispice de la nouvelle protection communautaire de la jeunesse génèrent-ils des accompagnateurs-experts tout en reprenant de vieilles catégories juridiques (3). Quant au droit à la parole des mineurs de 14 ans devant le tribunal, il ne pose pas la question des possibles manipulations de leur entourage et instances accompagnatrices, alors même que, par ailleurs en droit pénal, toutes les manipulations sont présupposées en matière de sexualité (4). Ainsi l'intention bienveillante "ridiculise l'enfant (...) en l'affublant du délire juridique des adultes " (2).

Est-ce à dire que cette tendance risque d' "évincer l"enfance de la filiation privée " et de "la constituer comme produit de valeur sociale ", ou que l'on constate une "abdication du sujet de droit au profit de l'assujetti au traitement technique "de sorte que l'on ne reconnaisse plus "la différence radicale entre le juge, comme personnage paternel, arbitre souverain choisi par le peuple et divers types d'expertises " (5)? Rien n'est moins sûr. Tout montre au contraire d'une part que la filiation privée moderne - la famille conjugale - est et a été l'instrument de l'investissement social de l'enfance; d'autre part que la fonction de juge telle qu'on la connaît depuis deux siècles demeurerait impossible sans la constitution de nouveaux savoirs techniques; et enfin que l'assujettissement réel des corps par ces techniques est constitutif de leur individualisation comme sujet formel. Il s'agira donc d'étudier comment le corps de l'enfant est devenu un enjeu commun pour les parents, les institutions éducatives et d'autres instances administratives tandis que le sexe de l'enfant devenait à la fois une cible et un instrument de pouvoir technique.
Constatons tout d'abord que la constitution d'une technologie fine d'assujettissement est corrélative des procédés qui ont permis de gérer l'accumulation des hommes et du capital à l'origine du décollage économique de l'Occident. Gérer l'accumulation des hommes, c'est constituer une «population» non seulement en neutralisant les dangers de rassemblements trop nombreux mais aussi en faisant croître l'utilité possible des individus par diverses techniques normalisantes rencontrées aussi bien dans les ateliers en plein développement, la constitution d'une armée nationale, le contrôle médico-policier, le nouveau traitement des criminels et, en l'occurrence, l'apparition d'une véritable science de l'éducation.

S'agissant de l'éducation, il ne s'agit plus alors d'un processus d'initiation de chaque individu tour à tour tandis que les autres élèves demeurent sans activité ni surveillance. L'éducation moderne exige d'abord la répartition des individus dans l'espace. Pour cela, elle nécessite souvent la clôture. Rencontrant le procédé architectural de la cellule des couvents, le collège devient au XVIIIe siècle un modèle d'espace analytique (6). Il s'agit d'établir les présences, de savoir comment retrouver les individus, d'interrompre certaines communications et d'en aménager d'autres, de pouvoir à chaque moment surveiller la conduite de chacun de telle sorte que chaque élément devienne interchangeable et se définisse selon la place qu'il occupe dans une série par l'écart qui le sépare des autres. Cette organisation d'un espace sériel suppose que l'on individualise les corps en les distribuant et en les faisant circuler dans un réseau de relations. Telle est la classe dont l'unité est non le lieu mais le rang : rangée des élèves dans les classes, les couloirs, mais aussi rang attribué à chacun pour chaque tâche, obtenu de semaine en semaine et d'année en année. Chaque élève se déplace sans cesse sur cette série de cases, qu'elles désignent la hiérarchie du savoir où traduisent matériellement la répartition des valeurs et des mérites (7).

Le contrôle de l'activité exige, surtout à partir du XIXe siècle, une découpe du temps de plus en plus ténue où les activités sont cernées par des ordres auxquels il faut répondre immédiatement. L'élaboration temporelle de l'acte est déterminée. L'acte est décomposé en ses éléments, la position des corps et des articulations est définie. Aussi le temps pénètre-t-il le corps et, avec lui, les procédés de contrôle, d'où la mise en corrélation du corps et du geste. La bonne écriture demande une gymnastique. Tandis que la non-oisiveté était dans la forme traditionnelle un simple principe négatif de non-gaspillage du temps donné par Dieu, on aménage à présent une économie positive par une utilisation en principe toujours croissante du temps. Il s'agit d'extraire toujours plus d'instants disponibles et, de ces instants, toujours plus de forces utiles(8). L'école mutuelle, plébiscitée par les milieux industriels, constitue ainsi un appareil pour intensifier l'utilisation du temps et permet de contourner le caractère linéaire et successif de l'enseignement du maître. Le temps est maintenant peuplé de multiples activités ordonnées dont le rythme est imposé par des signaux et sifflets afin d'habituer les enfants à exécuter vite et bien les mêmes opérations. Or, le nouvel objet en train de se composer n'est plus le corps mécanique constitué de solides et affecté de mouvement selon la physique cartésienne, mais le corps naturel, porteur de forces et siège d'une durée, susceptible d'opérations spécifiques qui, par l'exercice témoigne des exigences d'une nature anatomique.

Seul le corps organique permet l'organisation des genèses. La temporalité moderne est sérielle et progressive. Démia, dès le XVIIIe siècle, divise l'apprentissage de la lecture en sept niveaux progressifs selon une pédagogie analytique (9). Les procédés créent un temps linéaire dont les moments s'intègrent, orienté vers un point théoriquement terminal et stable: un temps évolutif. Piaget n'a donc rien inventé. Au même moment les techniques administratives et économiques font apparaître un temps social orienté et cumulatif.
L'idée de "progrès", l'historicité évolutive sont étroitement liées à ces techniques. L'apparition de l'exercice qui impose aux corps des tâches répétitives, différentes, graduées et orientées vers un état terminal participe de la même tendance. L'idée même d'un programme scolaire est apparue dans un groupe religieux - les Frères de la Vie commune - fortement inspiré par la mystique rhénane et son aspiration à une perfection spirituelle par le concours permanent des individus classés les uns par rapport aux autres sur le chemin du salut (10). Les techniques modernes gardent ces caractéristiques mais tendent vers un assujettissement qui n'a jamais fini de s'achever à l'instar de la temporalité kantienne et, plus tard, romantique.

Enfin, le sujet créé par ces techniques est caractérisé par la combinaison mesurée des forces qui le composent. L'horlogerie de l'école mutuelle constitue une combinaison des niveaux et des moments d'apprentissage de chaque élève sont utilisés en permanence. Peu de mots, pas d'explication, idéalement le silence ne peut être interrompu que par des signaux (11).

La surveillance hiérarchique est garantie par l'architecture même des bâtiments scolaires. Au XIXe siècle, la réorganisation de l'enseignement élémentaire spécifie la surveillance et intègre un personnel spécialisé choisi parmi les meilleurs élèves en vue de l'établissement de comptes-rendus pédagogiques. Le pouvoir s'étend ainsi, multiple, automatique et anonyme. La sanction devient non plus seulement punitive mais normalisatrice selon une micropénalité du temps, des activités, du comportement, du corps, de la sexualité, etc. L'ordre ainsi créé est artificiel, posé par un programme, mais il est aussi défini par des processus naturels observables. Nul élève ne peut participer à une leçon qu' il n'est pas capable de suivre sous peine d'altérer sa capacité d'apprendre. La punition comporte une double référence juridico-naturelle. A côté des emprunts au modèle judiciaire, les punitions sont de l'ordre de l'exercice répétitif. Châtier, c'est exercer. Mais la punition n'est aussi qu'un élément d'un système de gratification-sanction. Au lieu du simple partage entre le permis et l'interdit, on distribue les privilèges et pénitences entre deux pôles, positif et négatif. Aussi la différenciation qui s'opère n'est pas celle des actes mais des individus dans leur vérité naturelle. Ainsi la pénalité s'intègre dans un savoir des individus selon un fonctionnement juridico-anthropologique. La normalisation s'établit dans l'enseignement par l'instauration d'une éducation standardisée. Elle contraint à l'homogénéité mais individualise également par le calcul des écarts, des niveaux, la spécification des spécialités et permet de rendre les différences utiles en les ajustant les unes aux autres (9).

Enfin tout une série d'examens double l'enseignement, qui permet d'établir sur les élèves tout un champ de connaissances. Alors que dans la tradition corporative, le «chef-d'oeuvre» validait la transmission du savoir, l'examen garantit le passage des connaissances du maître à l'élève, mais il prélève également sur l'élève un savoir réservé au maître. Ainsi, l'école devient le lieu d'élaboration d'une pédagogie qui fonctionne comme science.

L'examen intervertit la visibilité du pouvoir. Traditionnellement le pouvoir est ce qui se voit. Ceux sur qui s'exerce le pouvoir restent dans l'ombre ou ne reçoivent que cette part de lumière qui leur est concédée par le pouvoir. Le pouvoir moderne est au contraire anonyme. Ce sont les «sujets» qui y sont offerts comme «objets» d'observation pour un pouvoir se manifestant par son seul regard.
Aussi fait-il entrer les individus dans un champ documentaire. Un registre pourra servir en temps et lieux utiles pour connaître les moeurs des enfants qui sont ainsi intégrés dans des systèmes cumulatifs. Ce qui rend possible la constitution de l'individu comme objet descriptible, non pour le réduire en traits spécifiques, mais au contraire en maintenant ses traits singuliers, son évolution, ses aptitudes propres alors que, par ailleurs, on l'intègre dans un système comparatif qui permet l'appréhension de phénomène globaux par l'estimation des écarts, bref la répartition des «sujets» dans une population. C'est pourquoi ces techniques font de chacun un cas, non seulement comme dans la vieille casuistique qualifiant l'acte individuel, mais aussi représentant la nature de l'individu que l'on veut décrire, que ce soit pour le dresser, le classer, le normaliser ou l'exclure. Alors qu'auparavant la biographie était un privilège du pouvoir à l'instar des chroniques, c'est maintenant celui sur lequel il s'exerce - en l'occurrence ici l'enfant - qui devient l'objet de descriptions individuelles et de récits biographiques. La procédure d'héroïsation fait place à une procédure d'objectivation de l'individu. Les procédures d'individualisations se sont donc retournées, permettant le démarrage épistémologique des sciences de l'homme (12).

Quant au rôle de la famille dans la transmission de ces techniques, chacun sait depuis le travail de Philippe Aries (6) que sa structure conjugale restreinte apparaît à cette même époque. Ce constat doit cependant supporter quelques nuances. Il appert en effet (13) qu'auparavant, la famille communautaire traditionnelle demeurait la règle dans une couche relativement privilégiée de la population moyenâgeuse tandis que la famille conjugale était déjà d'usage dans les classes populaires, du moins dans certaines régions.
En tout cas la question paraît si controversée qu'on ne saurait faire une norme générale de la famille étendue de l'ancien régime en arguant la nouveauté des sentiments réciproques modernes. Reste que l'une des premières actions d'hygiène consista à mettre en garde contre les négligences des nourrices extra-familiales et que l'enfant circulait alors au sein d'une communauté relativement large. C'est que la famille conjugale moderne proprement dite ne se fonde pas sur quelque sentiment réciproque mais précisément sur le corps de l'enfant. La conjugalité nouvelle joint plutôt les parents aux enfants de sorte que le fameux triangle oedipien ressemble fort à un rectangle ou un carré.

Il s'agit de comprendre que dès le XVIIIe siècle, au problème des enfants (à savoir le nombre des naissances et le rapport natalité-mortalité) s'ajoute celui de l'enfance, c'est-à-dire des conditions physiques et économiques de la survie jusqu'à l'âge adulte ainsi que de l'organisation de ce qui est alors perçu comme une phase spécifique et finalisée. Il s'opère alors une sorte de renversement puisque la responsabilité des jeunes vis à vis des plus âgés en matière d'entretien est bientôt remplacée par une responsabilité inverse qui oblige les parents vis-à-vis de leurs rejetons. On codifie selon de nouvelles règles les rapports parents-enfants. Bien sûr, le système de soumission demeure, mais il est investi par un ensemble d'obligations d'ordre physique: soin, propreté, contact, hygiène, proximité bienveillante, mais aussi allaitement, habillement et exercices physiques pour assurer le bon fonctionnement de l'organisme.

Ainsi, c'est un rapport corporel permanent et obligatoire qui se trouve maintenant codifié. La famille n'est plus alors seulement une relation s'inscrivant dans un statut social, un système de parenté et un mécanisme de transmission des biens. Elle devient un milieu physique dense qui favorise le corps de l'enfant. Cela entraîne un resserrement des relations qui constituent la famille étroite parents-enfants. Le lien conjugal ne sert plus seulement à produire une descendance, mais à fabriquer dans les meilleures conditions possibles un être parvenant à maturité. Aussi la santé, et en premier lieu celle des enfants, devient-elle l'objectif majeur de la famille. La famille est devenue ainsi l'instance principale de la médicalisation et, partant, de la normalisation de l'individu. On lui fait jouer le rôle de charnière entre les objectifs de bonne santé du corps social et le besoin de soin de l'individu où s'articule une éthique «privée» et un contrôle collectif de l'hygiène physique et mentale.

Dès le XVIIIe siècle, la famille est devenue la cible d'une formidable entreprise d'acculturation qui a tout d'abord porté sur les soins à donner aux enfants. Citons parmi une pléthore de titres «L'orthopédie ou l'Art de prévenir et de corriger dans les enfants les difformités du corps» d'Andry de Boisregard en 1741, l' «Essai sur la manière d'élever et de nourrir les enfants» de J. Roberts en 1752, le "Tableau des variètés de la vie humaine, avec les avantages et désavantages de chaque constitution et des avis très importants aux pères et aux mères sur la santé de leurs enfants, surtout à l"âge de la puberté" de G. Daignan en 1786 ou encore le «Guide moral et physiologique pour conduire la jeunesse au bonheur» de J.A. Millot en 1807. Toute une littérature qui s'étendra encore lorsqu'au XIXe siècle, une série de périodiques et journaux s'adresseront aux classes populaires, jusqu'au fameux Docteur Spock des années 1950 en passant par le «Livret de Bébé»(14).

La responsabilisation délirante des parents, et par conséquent leur culpabilisation perdure jusqu'à aujourd'hui puisqu'on pouvait encore lire il y a peu dans «Mon bébé» que «pour le nouveau-né, on préfère souvent la corbeille facilement transportable ou le moïse; l'un et l'autre seront souvent faits par la maman (...) tandis que les psychiatres nous apprennent que les parois dures et lointaines ne sont pas favorables...»;etc.

On ne reviendra pas ici sur le rôle fondamental de la médecine dans le contrôle social moderne (15 ). Ce qui est important, c'est de s'apercevoir que les relations familiales, essentiellement dans la cellule parents-enfant, se sont technicisées en absorbant depuis près de trois siècles des schémas scolaires, militaires, médicaux et psychologiques qui ont fait de la famille le lieu d'émergence privilégié du normal et de l'anormal. L'école joue depuis le début du XVIIIe le rôle d'observatoire social pour pénétrer dans les familles et exercer sur celles-ci un contrôle régulier selon un principe d'essaimage des techniques disciplinaires indépendantes de l'action des appareils qui ont fait de la discipline leur principe de fonctionnement.

Reste que la pression de la famille et de ses conflits s'accroît à mesure que le champ de celle-ci rétrécit, engendrant toutes sortes de tensions qui, dans la mesure où le «privé» est organisé autour de son corps, surinvestit l'enfant de névroses sexuelles. Or ce «privé» est un rapport de contrainte entièrement différent de l'obligation contractuelle. Si les systèmes juridiques qualifient les sujets de droit selon des règles universelles, les technologies disciplinaires distribuent les individus autour d'une norme. Leur pouvoir effectue une mise en suspens partielle du droit mais demeure la contrepartie obligée des règles juridiques. On comprend que le pouvoir de la norme fonctionne au sein d'un système d'égalités formelles puisqu'à l'intérieur d'une homogénéité qui est la règle, il introduit comme impératif utile et résultat d'une mesure le dégradé des différences individuelles. C'est que les technologies réelles des corps ont constitué la base invisible des libertés formelles et juridiques, au point que, comme on l'a déjà vu par ailleurs (16), cet infra-droit devienne le contenu effectif et officiel des formes juridiques.

Or, le corps de l'enfant est devenu, au sein de la famille conjugale «juridico-naturelle» le lieu de projection privilégié et contraint des problèmes sexuels des adultes, comme il appert de la contemporanéité des notions d' «enfance» et de «sexualité». Ce qui nous conduit à notre deuxième partie Le pervers polymorphe et le monstre sexuel que vous pourrez, ô lecteur, découvrir le mois prochain.

Serge KATZ

     
 

Biblio, sources...

(1) voir nos articles dans les Banc Public précédents.
(2) «Le continent noir de l'enfance» in Libération du 16 octobre 1995.
(3) Voir infra.
(4) cf. note 1) et deuxième partie du présent travail.
(5) Denis Duclos, «Crime, pédophilie et milices morales. L'enfance, une espèce protégée?, in Le monde diplomatique du 17/12/1999.
(6) Philippe Ariès, «L'enfant et la famille», 1960.
(7) J.B. de La Salle, «Conduite des Ecoles chrétiennes», 1828.
(8) M. Foucalt, «Surveiller et punir», 1975.
(9) Demia, «Règlement pour les écoles de la ville de Lyon», 1716.
(10) Cf G. Codina Meir, «Aux sources de la pédagogie des Jésuites, 1968. (11) E. Durkheim, «L'évolution pédagogique en France», 1938.
(12) Cf infra la troisième partie de ce dossier dans le numéro suivant.
(13) Cf note 1).
(14) P. Fedida, «Le psychologue et les demandes de sélection», 1972.
(15) Cf note 1).
(16) idem.

 
     

     
   
   


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